Britney Spears – Till It’s Gone. Aujourd’hui, le tribunal du #J4F : Justice 4 Flops ouvre ses portes pour, dans un premier temps, afficher publiquement son soutien indéfectible à la légendaire Britney Spears.
Depuis treize ans déjà, la princesse de la Pop survit sous la tutelle abusive de son père et des ses équipes et il est clairement temps que cela cesse. Bien évidemment, nous soutenons et prenons part au mouvement #FreeBritney. Espérons que la chanteuse sera très vite libérée des griffes de ses bourreaux qui ont fait de son existence un cauchemar depuis déjà bien trop longtemps. Deuxièmement, nous venons défendre les couleurs d’une petite pépite égarée sur l’album « faux-pas » de la chanteuse, à savoir « Britney Jean », paru en 2013. Étonnant n’est-ce pas? On vous l’accorde mais « Til It’s Gone » n’est pas né sur le bon disque, croyez-nous.
Ce titre produit par David Guetta et ses équipes était en totale symbiose avec les sonorités électroniques de son époque. En 2013, c’est l’EDM qui régnait sur les ondes et dans les charts. Et « Til It’s Gone » avait toute l’artillerie nécessaire dans sa production pour briller et faire danser le monde entier. Mais comme on vous le disait un peu plus haut, il crèche sur le mauvais album.
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L’exploitation de « Britney Jean » avait été un véritable désastre. Et ce malgré le succès du lead-single « Work B*tch ». Un disque qui avait été annoncé comme étant le plus personnel de la carrière de Britney : une déclaration qui avait faire rire jaune toute la fanbase de la chanteuse à la sortie de l’opus, tant certains titres sont génériques et peu inspirés. Qui plus est, on s’est vite rendus compte que Myah Marie, chanteuse pop et sosie vocal de Britney Spears découverte en 2011 lors de l’enregistrement de l’album « Femme Fatale », avait plus ou moins posé sa voix sur quasiment toutes les pistes de l’album.
Mais, pour « Til It’s Gone », c’est différent. Ok, la production du titre se voulait facile, bien grasse et dansante. Et peut-être (pour ne pas dire à coup sûr) que c’est Myah Marie qui porte vocalement le titre plus que Britney… Mais, si on se penche sur le texte, et surtout aujourd’hui en connaissance de cause, on se dit qu’il se pourrait bien que ce titre soit en effet l’un des plus personnels de la carrière de Britney.
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Elle y répète inlassablement que nous n’avons pas vraiment conscience de ce que nous possédons tant que ceci ne disparaît pas totalement. Un titre à l’écriture ouverte et universelle, ce qui fait que chacun peut adapter le texte à son propre vécu.
Mais justement si on se base sur celui de la chanteuse, on pourrait être amené à penser qu’elle évoque sa liberté perdue à cause de la tutelle à laquelle elle est soumise depuis 2008. Il ne faut pas oublier qu’à cause de cette fameuse tutelle, Britney Spears a totalement perdu le contrôle de sa vie, la garde de ses enfants, l’accès à l’argent qu’elle génère, le droit de conduire une voiture, et on en passe. Effectivement, vu sous cet angle, on se dit que tout ce qui peut nous paraître normal, anodin, acquis, peut disparaître du jour au lendemain en nous laissant totalement démunis.
Dans l’épisode précédent de JUSTICE FOR FLOPS : Daya – Bad Girl
À méditer… mais en attendant, on vous invite fermement à vous tenir informé de l’avancée du mouvement #FreeBritney. N’hésitez pas à afficher votre soutien à celle qui nous aura fait rêver, vibrer, danser, suer sur tous les dancefloors du monde depuis 1998. PS : Pour ce #J4F, on ne vous encourage pas à streamer en boucle le morceau car, pour l’instant, l’argent qui sera généré par vos streams ne reviendront pas à qui de droit.
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