La very bad news, c’est que les festivités ont été repoussées à cause de ce maudit virus qui commence vraiment à nous courir sur le haricot. La very good news, c’est que pas mal d’événements ont été reprogrammé. On vous raconte le planning. Et on n’a plus qu’à sortir nos agendas…

Par Fred Lafeuille

La pandémie de Covid-19 représentant encore une menace à ne pas négliger, les Marches des Fiertés ont été repoussées un peu partout en France. Certes, on a bien compris que le message de ce virus est “on ne sait pas de quoi sera fait demain”. Mais, ça n’empêche pas d’être optimiste. Aussi, de nouvelles dates ont été annoncées par les organisateurs des marches. 

UN PARCOURS BEAUCOUP MOINS LONG QUE PRÉVU À PARIS

À Paris, la Marche des fiertés aura donc lieu le 7 novembre prochain dans la capitale, selon l’Inter-LGBT. Son parcours sera un brin réduit. Il passera à trois kilomètres au lieu des cinq prévus initialement. Les festivités débuteront à 14h au Jardin du Luxembourg. Elles s’achèveront place de la République. Là, les participants pourront se rassembler comme d’habitude devant le grand podium pour le grand show final.

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À Marseille, une Pride Week est prévue du 28 août au 5 septembre, selon nos confrères de Têtu. Au programme, des expos, des conférences et tout un tas d’autres événements qui s’égraineront tout au long de la semaine. Le jour de clôture, la Pride marseillaise diffusera plusieurs heures de live en streaming depuis différents endroits de la cité phocéenne. 

CERTAINES VILLES FRANÇAISES ONT PRÉFÉRÉ ANNULER

À Toulouse et à Annecy, tout se passera le 5 septembre. À Gap, rendez-vous le 12 du même mois. Quant à Montpellier, Lille ou encore Toulon, elles accueilleront leurs Marches des Fiertés le 26 septembre. Puis, le 3 octobre, direction Rouen.

De nombreuses autres villes françaises qui accueillent des Prides n’ont pas encore communiqué de dates pour leurs éditions 2020. C’est ainsi le cas d’Amiens, d’Angers, d’Arras, de Biarritz, de Bordeaux, de Caen, de Clermont-Ferrand, du Mans, de Lyon, de Metz, de Nîmes, d’Orléans ou encore de Tours. 

En revanche, des villes comme Grenoble, Nantes, Rennes, Strasbourg, Tignes et Valence préfère privilégier le principe de précaution et on pour le moment préféré annuler purement et simplement les festivités. 

 

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